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A la suite de la censure du gouvernement Barnier, ces établissements de jeux expérimentaux avaient dû fermer au 1er janvier, entraînant la mise en activité partielle de près de 1 200 salariés. Ils rouvriront le 28 février ou le 1er mars, toujours sous statut expérimental.
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Une réouverture, mais toujours pas de pérennisation : c’est le verdict qui ressort de la loi de finances, adoptée le 14 février, pour les sept clubs de jeux parisiens. Alors que le conseil d’Etat a examiné mardi 25 février le décret permettant leur réouverture, ces établissements de jeux, fermés depuis le 1er janvier, attendent encore sa publication au Journal officiel, mais se préparent à accueillir à nouveau leurs clients vendredi 28 février ou samedi 1er mars.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les clubs de jeux parisiens, victimes collatérales de la censure du gouvernement Barnier, devraient fermer au 31 décembre Lire plus tard
La quasi-totalité des 1 200 salariés à temps plein du secteur étaient au chômage partiel depuis la fermeture du début d’année, qui a également impacté les prestataires (voituriers, sécurité, ménage) travaillant pour les clubs. « C’est un soulagement, les actions du ministère du travail et du ministère de l’intérieur ont permis de limiter la casse et de rapidement savoir que les clubs ne resteraient fermés que deux mois », salue Dominique Dorgueil, secrétaire fédéral de la section casinos et clubs de jeux de la Fédération des employés et cadres Force Ouvrière (FEC-FO).
Les circonstances de la fermeture de janvier avaient consterné salariés et dirigeants : en décembre, la censure du gouvernement de Michel Barnier et l’abandondu premier projet de loi de finances